Butembo : La détermination du réparateur de moto Moïse Saasita vient de lui permettre de s’acheter la moto Haojue X-PRESS PLUS
La détermination de matérialiser son rêve. C’est le pari gagné par KASEREKA SAASITA Moïse. Habitant de Kyavinyonge, une contrée du territoire de Beni, il vient de s’acheter ce jeudi 22 mai 2025 la moto Haojue de type X-PRESS PLUS.
Interrogé par des agents du Service de Marketing, ce client indique qu’il déposait sur son compte 10 dollars. Au bout de 3 ans, il a réuni le montant requis pour acquérir la moto X-PRESS PLUS.
KASEREKA SAASITA Moïse est mécanicien-réparateur de moto. « J’admire beaucoup de type de moto. C’est pour la première fois d’acheter la moto. Je fais la mécanique en termes de réparation de motos. Je viens de passer trois ans en train de déployer des efforts pour réaliser ce projet. A chaque fois que réunissais un moment de 10 dollars, je m’empressais à la banque pour épargner. Ma moto sera utilisée pour le taxi. Le taximan me ramènera de l’argent pour m’aider à faire autre chose », s’enthousiasme-t-il au micro de Vivien Kuhimba Kadawa.
KASEREKA SAASITA Moïse conseille aux mécaniciens-réparateurs et autres personnes exerçant différents métiers de rester focus sur les projets de leur vie.
« Souvent, sans objectif, on ne fait rien de grand. Nous admirons beaucoupX-PRESS PLUS. Que les autres aussi travaillent avec objectif par exemple d’acheter la moto Haojue. Ma prière c’est d’acheter une deuxième moto d’ici peu », conclut-il.
KASEREKA SAASITA Moïse montre à son tour que l’acquisition de la moto Haojue est fruit d’une détermination.
Avant lui, Virginie MBAKULIRAHI, cette dame de 57 ans, a signé une œuvre inédite : l’achat d’une moto pimpant neuf de marque Haojue le jeudi 15 mai. Elle a choisi le type Elegant afin que son fils devienne taximan pour contribuer à accroître les revenus du ménage.
La brave Virginie MBAKULIRAHI a pour activités la production suivie de la vente de l’arac, la vente de la braise en « en détail» et des cannes à sucre.
Elle s’est privée de presque tout pour thésauriser l’argent dans une tirelire. Au bout de 3 ans et demi, son rêve est devenu réalité.
Patient Akilimali